Découverte: Aucun défi aux États-Unis à 43 milliards de dollars Warnermedia

Les régulateurs antitrust américains n'ont pas contesté la combinaison de 43 milliards de dollars de découverte et de warnermedia d'AT & T au cours d'une période de révision clé, selon les dépôts de valeurs mobilières d'entreprise, assouplis la voie à la négociation de la négociation dans les prochains mois.

Dans une grande retraite pour le géant sans fil AT & T, la Société a décidé de séparer Warnermedia, qu'elle a acheté en 2018 à 81 milliards de dollars après une bataille antitrust prolongée avec le département de la Justice Trump-Era. Warnermedia, à la maison à CNN, HBO et HBO Max, se combinerait ensuite avec Discovery, le parent des réseaux comme HGTV et son propre service de streaming, découverte +.

Discovery Inc. a déclaré que, dans un délai de mercredi, dépose que et AT & T Inc. n'a pas obtenu des objections du ministère de la Justice ou de la Commission fédérale du commerce lors d'une période de révision clé terminée. Les autorités antitrust américaines pourraient toujours décider de déposer une question, mais cela est rare. Les régulateurs européens antitrust ont déjà été signés et la transaction devrait se terminer au deuxième trimestre. Les actionnaires de découverte doivent encore l'approuver.

Le porte-parole de la FTC Betsy Lordan a déclaré que le FTC n'annonce que lorsqu'il publie une plainte. Le porte-parole DOJ Arlen Morales a refusé de commenter. AT & T a référé les questions à la découverte.

L'accord n'était pas parti sans critique. Les législateurs démocratiques de décembre ont demandé à DOJ de jeter un coup d'œil à la fusion, affirment qu'il soulève des "préoccupations antitrust significatives" et de menacer les efforts de la diversité du travail de l'industrie.

L'administration Biden a appelé à une version plus difficile de l'application de la loi antitrustion et a poursuivi l'arrêt d'une acquisition proposée de 2,2 milliards de dollars de Simon & Schuster par le géant des médias allemands Giant House aléatoire de Bertelsmann, tout en poursuivant une poursuite antitrust sur Facebook, maintenant connue sous le nom de méta que entraîner des retombées de certaines de ses entreprises.